• Avec des amis, on planifir de se faire des space cake. Je trouvais l'idée plutôt bonne jusqu'à ce que je réalise que ma mère avait probablement fait la même chose quand elle était jeune avec ses amis dans leur petit village. Je ne peux pas devenir comme elle. C'est impossible!


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  • Cette femme atteint des niveaux de violence encore jamais égalés. Plus rien n'a de bon sens: c'est le bordel total. Je jurerais qu'elle veut anéantir le monde entier. Elle hurle: elle sacre: elle bourasse:elle menace. Plus jamais je ne me mettrai dans une situation aussi intenable. Il faut que je sacre mon camp sinon je vais finir par en mourir. C'est triste, mais je ne peux rien y changer. Je peux seulement m'écarter de la vague de folie ou la laisser me balayer comme un nouveau-né sans défense.


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  • Les petits détails qui composent mon quotidien aujourd'hui. Ces choses qui me semblent si naturelles à l'heure actuelle. Elle ne seront pas toujours aussi présentes, peut-être même pas toujours possibles. Les choses de tous les jours sont éphémères, les miennes plus que les autres. Hier encore, Éric m'a dit tu fras pas mieux pis tu fras pas pire que les autres. La similitude avec une certaine scène dans une certaine cuisine d'une certaine épicerie de campagne m'a frappée. Une chanson qui m'inspire beaucoup ces temps-ci est Dust in the wind de Kansas. Je vous la recommande vivement. Sur ce, je vous conseille de profiter à fond des choses les plus insignifiantes car elles pourraient bien s'évanouir dans le temps plus vite que vous ne le soupçonnez.


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  • Au mois de décembre dernier, j'écrivais que je dansais la dernière danse de l'ange de la mort. J'avais raison. Il me reste 19 mois à garder la tête hors de l'eau avant mon 18 ème anniversaire. J'espère juste que celui-ci n'arrivera pas trop tard. Ou trop tôt.  


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  • Lentement mais sûrement, les choses se mettent en place. Chaque jour qui passe me rapproche de mon but. Il reste moins de 2 mois à mon secondaire 4. Mon futur commence à prendre forme dans ma tête. Les détails ne sont pas encore au point, mais j'ai au moins réusi à tracer les grandes lignes de ce que je veux bâtir. C'est vague dit comme ça, mais je ne peux quand même pas dévoiler tous mes plans d'avenir sur Internet. Soit dit en passant, j'utilise Mozilla Firefox et vous? Bon, ça n'avait vraiment pas rapport mais ça me tentait. En plus, c'est mon blog ici, non? Ça veut dire que c'est moi qui décide ce qui est bizarre et ce qui ne l'est pas. Bon, ma petite crise de contrôle est passée. Il est assez tard pour que je tire ma révérance pour cette nuit et que j'aille rêver à ce futur que je peux presque déjà caresser du bout des doigts.

    Bien à vous,

    Votre très chère Sweet Sixteen! :)


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  • Toute ma vie, j'ai su que mes parents ne m'haïssaient pas. Mais j'ai égalment su qu'ils ne m'aimaient pas. En fait, ils m'ont fait découvrir ce qu'est la souffrance morale à sa plus pure expression. Si tu veux faire mal à quelqu'un, insulte-le. Mais si tu cherches à détruire cette personne, ignore-la et elle deviendra complètement folle. Elle en viendra à apprécier le mépris des autres car il constitue une forme d'intérêt. Elle en viendra à provoquer les autres juste pour se faire revirer de bord. Elle ne le fera pas par masochisme. Non, au contraire, elle le fera pour se sentir mieux en se prouvant sa propre existence à elle-même. Ça peut sembler absurde, mais si on se penche sur la question, ça devient complètement logique. En effet, la quête d'identité n'est-elle pas la plus grande aventure de notre existence? Les gens qui ont été délaissés voire ignorés dans leur enfance cherchent souvent à se définir par rapport aux réactions de leur entourage. Donc, ces gens cherchent désespérément à se prouver que leur existence à un sens puisque les autres tentent de les corriger et par conséquent, de les aider à s'améliorer.


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  • The title says it all.

    Un jour, je laisserai toute cette merde derrière moi. Je vais oublier toute l'horreur de cette vie. Je vais me bâtir une vie à mon goût à la sueur de mon front. Je vais en baver, c'est inévitable. Mais en même temps, je sais que je dois passer par là si je veux pouvoir dire un jour que j'ai accompli quelque chose. Je vais réussir même si je fais un paquet d'erreurs sur mon chemin. Le soir, j'aime bien me répéter cette phrase énigmatique de mon crû: <<Sois sans crainte, car l'aube de l'éternité se lèvera sur un monde meilleur>>. 

    Plus rien d'autre n'a d'importance.


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  • Mon nouveau travail me permet de voir le monde sous un jour nouveau. Maintenant, j'ai une paie régulièrement. Malgré tout, quelque chose sonne creux. J'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans ce job. Peu m'importe, car je peux le lâcher à tout moment. Mais bon, de l'argent c'est de l'argent, peu importe d'où il provient.


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  • Lisette dans la cuisine chez Spence parlant de ma vie d'adulte :  Tu fras pas mieux pis tu fras pas pire kun autre.


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  • J'ai eu la chance de rencontrer des gens extraordinaires qui m'ont appris qu'il n'y avait pas que la violence et la haine dans la vie. J'ai eu la chance de découvrir que la vie pouvait être douce  et que certaines personnes savent être bonnes sans rien attendre en retour. Bien que certaines choses se soient évaaporées dans le temps et l'espace, ces précieuses leçons de vie continueront à exister dans mon coeur jusqu'à la toute fin. Oui, je suis vraiment une petite chanceuse.


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